POEME: JE T'ATTENDAIS

Dans mes rêves les plus fous

Dans mes rêves les plus doux

Dans la douceur des mois d’Août

Je t’attendais

Dans mes rêves les plus secrets

Dans mes rêves les plus insensés

Dans la chaleur de juillet

Je t’attendais

Dans toutes les rues de la ville

Dans tous les bars de cette ville

Dans les matins du mois d’Avril

Je t’attendais

Dans l’obscurité de ma chambre

Dans les forêts parées d’ambre

Dans les beaux jours de Septembre

Je t’attendais

Pendant toutes ces longues années

Pendant toutes ces longues journées

Dans les soirs du mois de Mai

Je t’attendais

Et puis par un beau matin

Tu es venue enfin, enfin

Un beau matin du mois de Juin

Tu as souri et pris ma main

Peu m’importe désormais

Les jours, les mois ou les années

Peu m’importe car jamais

Je ne cesserai de t’aimer